Une lettre, des nouvelles...et une rencontre! [Libre]

"-Père supérieur! Père supérieur!"

Un jeune frère sa toge sur le dos marchait à grand pas tout en hurlant à tue tête. Il tenait entre ses doigts une envellope frapper du sceau royal. Il entra dans la salle de prière, ralentissant peu à peu son pas. Il s'arrêta face à l'hôtel traçant la sainte croix prononçant une prière silencieuse puis il observa l'homme qui se tenait un genoux à terre. Celui-ci était d'une grande beauté et qui le connaissait se douter bien qu'il cachait dérrière cette pure apparence un côté sombre. L'homme un genoux à terre était fort concentrer sur sa prière. Il portait une tenue digne du 15ème siècle mais nul ne pouvait se moquer de lui tant cela le rendait encore plus beau qu'il ne l'était; Il acheva sa prière et se releva, son visage neutre s'éclaira alors d'un resplendissant sourire. Il déposa sa main sur l'épaule du frère et d'une voix digne d'un ange lui demanda:

"-Qui a t-il mon fils?"

Cela pouvait paraitre étrange qu'un homme aussi jeune ai déjà atteint un tel poste mais le Vicomte de Karachi n'était pas n'importe qui. Il était assez grand mais d'une nature assez frêle pourtant son regard semblait incroyablement puissant et sage. Il souriait toujours essayant de mettre le jeune frère en confiance. Cela faisait quelque temps qu'il était là et personne ne semblait-être encore en mesure de soutenir son regard. Il était arrivé un beau jour et cloîtrer dans sa chambre il étudiait les textes sacrés. Il ne sortait que les heures de prière et parfois prononcer lui même des sermons. Puis un jour il fut nommer père supérieur et envoyer ici. Le jeune prêtre lui remit la lettrequ'il tenait dans ses mains tout en s'inclinant respectueusement. Non seulement il était le père supérieur de l'eglise mais il était aussi l'inquisiteur de cette province et portait le titre de Vicomte de Karachi. Il sourit tout en le remerciant et quitta la pièce. Dans le jardin qui séparait l'orphelinat de l'eglise il s'assit sur un banc et ouvrit l'envellope. Quelque minute après il l'enfourra dans sa bourse et poussa un soupir exaspèré. Il observa le ciel sans plus un mot, attendant.