Un couturier à croquer-Un vrai travail d'artiste! [PV:Kazim]

Alexandre avait tout juste quitter le jeune couturier que celui-ci avait disparu. Il se trouva bien mal se rendant compte de la situation dans laquelle il c'était mise. Lui qui n'avait qu'une parole avait dit qu'il se rendrait à la boutique du jeune homme. Il poussa un soupir, Kazim s'en était aller sans lui dire ou il pourrait trouver sa boutique. Alexandre demanda à un matelot de lui donner main forte pour conduire ses bagages jusqu'à l'auberge ou il dormirait jusqu'au retour du navire. Cela leur prit plusieurs heures tant Alexandre avait de bagages. Mais finalement Himéros pu se coucher sur son lit sans un mot pendant que le marin s'en aller.

Alexandre n'était pas fatigué, après tout un ange de la mort ne perdait pas d'énergie d'ailleurs en avait-il seulement? L'étranger resta là, coucher sur son lit et observant son plafond. Il se souvenait des dernières années qu'il avait passé en mère. Soit comme soldat dans l'armée anglaise, soit comme navigateur chez les portugais ou encore comme pirate dans l'océan pacifique. Il était encore aujourd'hui rechercher par nombre de personne. Il esquissa un sourire et se releva étirant chaque muscle de son corps. Puis il jetta un oeil sur tout les paquets autour de lui et se mit au travail de les ouvrir.

Il ouvrit une première boîte contenant de nombreuse épées. Armes dont il ne se servait jamais mais dont il appréciait la teneur esthétique. Puis il ouvrit un sac et rangea divers vêtements dans une armoire. Ensuite il ouvrit trois autres boîtes en sortant des livres qu'il plaça sur des étagères, plusieurs cartes qu'il déposa sur son bureau et une sorte de boussole très rudimentaire. Et finalement il ouvrit une sorte de gigantesque coffre fermer à l'aide de plusieurs cadenas. Des pièces et des pièces d'or, une cape rouge très ancienne et dans un sal état et une petite bourse contenant quelque pierres précieuses. Alexandre observa le tout, il attrapa sa bourse et y fourra quelque pièce. Puis cela fait il mit la cape sous protection et sortit fermant la porte à clef.

Le bel ange marcha longtemps dans les rues, s'arrêtant de temps en temps pour demander son chemin. Et après plusieurs aller et retour il arriva devant la boutique du couturier. Il était épuisé, ou il aurait pu l'être si il avait été en vie. Il entra dans la boutique, une sorte de clochette se fit entendre et presque aussitôt Kazim apparut. Alexandre sa cape sous le bras, une main dérrière la tête et un air gêner au visage lui tint se langage:

"-Nous sommes navré de l'heure tardive mais nous avons eu du mal à trouver se lieu.

Kazim déposa sa tasse de thé quand la clochette se foit entendre....Il se leva et apparut dans le boutique, son air calme et doux au visage. Son regard noisette se posa doucement sur Alexandre....puis sur la cape...qui , même sous la prtection du jeune homme, avait l'ais dans un mauvais état....bien que le tissu soit étonemment bien concervé...Les déchirures étaient nombreuses et éfilochées....Mais pas impossible à réparer... Pas pour Kazim en tout cas! Il connaissait ses fils et ses aiguilles comme sur le bout de ses doights!... Il s'avança en le saluant respectueusement...

''Ce n'est rien...Vous n'avez pas à être désolé voyons...''

Fit il de sa voix douce et calme...Accompagnée d'un sourire doux, tendre, voir même affectueux....Kazim s'avança re regarda la cape....

''Vous permettez que je l'examine...pour voir ce que je peux y faire?''

IL attendit patiemment que le jeune étranger lui tendre la cape, il la prit avec une poigner douce, fluide et agile, il savait commence manipuler des tissus anciens ou en mauvais état....Il l'étalla sur sa table d'un geste doux et précis....Il enfila de petites lunettes rondes , ce qui lui donnait un air un peu plus vieux...mais ça lui donnait du charme...un peu sexy sur les bords....Il passa les doights sur la tissu et le regardait dans les moindres détails avec une précaution et une présicion sans limites.

''C'est un tissu très ancien.....une étoffe faite de lin , un peu de velour et de satin si je ne m'abuses....Je suis heureux de voir qu'un tissu de cet âge soit encore dans cet état.....Cette cappe et très bien concervée...Même si la pauvre a vécu de durs coup pendant sa longue vie....''

Fit il sans arrêter d'examiner le tissu et ses déccirures...être penché de la sorte pour regarder le tissu faisait ressortir la la rondeur de ses belle petites fesse bien bombées....Mais Kazim était trop rivé sur le tissu pour s'en apercevoir, d'ailleur ce détail ne lui avait jamais effleuré l'esprit.....

''Je crois pouvoir arranger ça....Cette étoffe mérite tous mes efforts....Elle doit être conservée a tout prix...Cette cape est de l'histoire brodée....''

Il re se releva et ouvit une grande armoire...découvrant des centaines de bobines de fils...toutes rouges..mais de teintes et textures différentes....Kazim promena ses doights sur quelques unes d'entre elle , il cherchait exactement le bon fil.... sa main s'arreta sur une bobinne et il la prit....

''Je vais tenter de faire sans traces.....''

Il se retourna et replaça ses lunettes sur son nez....Il se coinca trois ou quatres aiguilles entre les dents ,empoigna ses cisailles de coutures et commença....il poinsonna tout le tou des déchirures pour ne pas que le tissu ne bouges ,ses doighsta giles se mirent au travail...alors qu'une maincoupait les éffilochures au milimètre près, son autre main dirigeait l'aiguille qui raccomodaient les files exactement au milimètre près eux aussi. En se moment, Kazim était très concentré ses mains montraient une agilité sans pareil et il ne voyait plus rien autour...Il était très appliqué.....

Le couturier apparut, il le salua rapidement et observa la cape. Alexandre le trouvait encore plus séduisant qu'un peu plus tôt. À moins que ce soit son excitation et l'envie que le roux lui provoquait qui parler. Sa voix était si douce et affectueuse que notre ange ne pu s'empêcher d'imaginer cette adorable voix en train de pousser des gémissements de plaisir. Cette image ne fit qu'augmenter son désire et sa volonté à obtenir ce qu'il voulait. Kazim lui demanda à voir la cape, il la lui tendit presque aussi tôt un étrange sourire étirant ses lèvres.

Le jeune couturier attrapa la cape avec délicatesse, se vêtement était à lui seul un objet d'art. Puis il déposa la cape sur une table avant de mettre une paire de lunette. Alexandre sourit d'un air inocent mais si Kazim n'avait pas été concentrer sur son travail il aurait peu voir une étrange flamme animé le regard de l'étranger. Le sourire d'Alexandre s'aggrandit en observant le couturir. Celui-ci s'occupait d'un tissus comme lui s'occupait d'un corps. C'était assez intéressant et bon à savoir, une pointe de jalousie monta en lui. Il aurait beaucoup apprécier être à la place de cette cape.

C'était exacte le tissus était ancien, et dit comme sa Alexandre eu l'impression d'être un vieux grand père. Il tira une grimace avant de continuer à écouter le couturier. Il ne connaissait strictement rien à la couture alors Kazim devait avoir raison. Il était évident que la cape était bien conserver, Alexandre prenait toujours soin de ses trésors. Le couturier observait toujours le tissus pendant qu'Alexandre observait une partie très intéressante de son anatomy. Que voulez vous, Alexandre aimait les belles choses et le dérrière de monsieur Volssler on faisait partit. Instinctivement ses mains c'étaient approchés puis au dernier moment il se stoppa net. Kazim lui dit qu'il pourait sans nul doute faire quelque chose pour l'étofe.

Pour séduire le beau couturier Himéros était près à tout. Et si pour cela il devait faire en sorte d'ignorer l'objet de ses tentations et bien soit. Il fit donc comme si il était terriblement soulager et pour la comédie Alexandre était doué. Il observa sa proie préparait ses outils de travail puis se mettre à la couture. Il commençait à être fatiguer de rester debout mais il aurait été impoli de déranger l'artiste en plein art. Et encore plus impoli de s'asseoir sans y être inviter. Il resta donc debout puis après un moment décida de faire avancer les choses. Bientôt, le jeune Kazim allait comprendre pourquoi notre bel ange était à l'origine même du mot "désire". Il s'avança près du couturier, restant près de lui. Sans le coller pour ne pas l'outrer mais assez près pour que celui-ci puisse sentir la chaleur de son corps.

Malheureusement pour Alexandre, il aurait du pain sur la planche, Kazim est un homme très difficilement séductible.Kazim termina de réparer la première déchirure....Aucune marque apparente! Il fallait aussi se rappeler que Kazim était un couturier hors pair....Le meilleur de la ville probablement...Kazim ressentit Alexandre se pencher sur lui.Kazim n'aimait pas trop qu'on entre dans sa bulle, mais il était très patient...en plus il avait fini la brèche....Il se retrouva vers l'étranger avec le plus doux et mignon des sourirs....

''Oh veuilles me pardonner...Je suis tellement absorbé quand cout...Sentez-vous libre de vous prendre un siège...et puis vous pouvez me parler...je suis capable de faire plus que deux choses à la fois ,hahaha! ''

Fit-il avec un petit rire crystalin et sa voix douce et mielleuse...Il se leva doucement, il alla dans l'arrière pièce et ressortit sa thellère...Il la déposa sur la ptite table à café près de la table ou il travaillait ,juste devant Alexandre. Il se pencha sur celle-ci, faisant encore une fois ressortir ses courbes et ses fesses...mais encore plus son torse qui se dévoilait bien rien qu'en regardant par le colet qui se détachait de son cou....Il servit une tasse de thé et la tendit gentiment a l'ange de la mort...Puis il se r'asseya et fit face à Alexandre...un petit brin de causette ne lui ferait pas de mal....

''Alors, M.Himéros....Que venez-vous faire dans une petite ville tranquille comme Old-Royston dites-moi...Il est rare de voir des étranger avec votre stature débarquer ici...''
Fit-il doucement en remontant ses petites lunettes de coututre sur son délicat petit nez...Son doux regard noisette se posa sur l'homme devant lui...Un étange réflexe se fit et il croisa les jambes....mais pas de manière stressée, de manière décontractée et sexy sur les bords....Biensur Kazim était un cas dur a séduir...Mais cela ne veut pas dire qu'il aime bein s'amuser un peu avec ceux qu s'y essayent....En plus...une fois le petit jeux terminé, il avait souvent la paix pour continuer sa petite vie tranquile...Il replaça une mèche rousse derière son oreille et regardda patemment l'autre homme...

Le couturier après avoir fini son ouvrage se retourna un adorable sourire au visage, Alexandre le lui rendit. Il écouta Kazim parler sans vraiment l'entendre trop occuper à réfléchir à comment obtenir ce qu'il désirait. Cela ne semblait pas être facile et pourtant il ne comptait pas abondonner, personne ne l'avait jamais repousser même les personnes les moins préocuper par les raisons du coeur. Puis sans sortir de sa réflexion il alla s'asseoir faisant en sorte de se mettre le plus loin possible. Il voulait éviter de donner l'impression de vouloir ce qu'il voulait, il était vrai que beaucoup de gens le jugeait sur son apparence. Une apparence qui rendait justice à ce qu'il était vraiment ou presque, il se mit dans un coin de la pièce et garda le silence.

Plus le temps passait et plus il se demandait si le couturier ne se jouerait pas de lui. Il avait un rire, une voix et un corps qui portaient à croire qu'il n'était pas le genre de personne qu'il semblait être. C'était tant de détails qu'Alexandre trouvait insuportable, il detestait ne pas comprendre ce qui se cachait dérrière l'esprit de sa proie. Il observa le jeune couturier se lever pour aller chercher une théllière puis la déposer juste devant lui. Il baissa les yeux las de tout se petit jeu inutile, il avait décidé que si quelque chose devait arrivé se ne serrait pas à lui de la déclencher.

De plus il ne pouvait supporter une personne qui semblait ne pas vouloir de rapprochement alors que tout son être semblait avoir été créer pour cela. Il crispa légèrement les poings, il detestait l'idée d'avoir un tel corps face à lui sans pouvoir en profiter. Si il n'avait pas trouver cela ridicule il on aurait bien pleurer de frustration, car c'était là le sentiment qu'il avait. Il était frustré de ne pas obtenir ce qu'il désirait mais abondonner était contre sa nature. Puis lorsqu'il releva la tête il vit que Kazim lui tendait une tasse. Il s'en saisi sans un mot tout en observant le fond de sa tasse, son visage exprimait bien sa fatigue. Il était fatigué de toute sa mort, sa longue mort qui n'en finissait plus à son bonheur certes.

"-Le vent...suivre le vent, naviguer au gré du vent. Ne jamais se laissait guider par un simple désire, simplement suivre le vent jusqu'à l'endroit que celui-ci aura choisi de vous portez..."

Répondit-il à sa question, ce n'était pas totalement faux il avait suivi le vent tout en sachant ou celui-ci le conduisait. Avait-il envie d'être ici? Peut-être bien mais pour le moment il venait d'arriver et ne pouvait pas donner de réponse plus claire. Une raison pour venir dans une petite ville comme Old-Roystone? Mise à part cette énergie négatif et le sentiment profond que d'autres créature l'habiter il n'avait pas vraiment de raison. Il aimait décovrir de nouveau lieu, de nouvelle personne et de nouvelle expérience. Il releva son regard noir sur les yeux noisette du jeune couturier et lâcha:

"-C'est le hasard quinous a mené ici...ou peut-être le destin mais nous ne sommes pas sûr que celui-ci s'applique à nous...."

Après tout le destin ce soucier t-il des non vivant? Il poussa un long soupir avant de prendre une gorgée de sa tasse. Il supposait que le goût devait ête bon, il avait perdu l'usage de se sens depuis déjà quelque siècle. Puis un sourire apparut sur son visage, il commençait à trouver l'attitude du couturier un peu moins frustrante et beaucoup plus amusante. Il l'observa croiser les jambes et replacer une mèche de cheveux dérrière son oreille. Il avait finalement adopter une attitude neutre et pour faire en sorte de bien faire comprendre au couturier qu'il ne l'intéresser pas ce qui n'était bien évidemment pas le cas il lui dit tout en se levant:

"-Bon et bien, nous ne voudrions pas vous dérrangez d'avantage nous allons vous laissez terminer votre travail. Nous repasserons demain."